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2475 résultats

  • SORTIE SKI LEYSIN | FoRom Ecoute

    Retour à l'agenda SORTIE SKI LEYSIN 4 février 2024 Leysin Une journée de ski te tente ? Rejoins-nous pour une sortie neige le 04 février 2024 Pour ceux qui viennent en train à Leysin, le rendez-vous est à 8h45 à Aigle. Le train pour Leysin partira à 8h56 voie 15. Pour ceux venant en voiture, le rendez-vous est à 9h30 à Leysin télécabine Berneuse. !! pour des raisons d’organisations, les participants qui seraient en retard ne seront malheureusement pas attendus. Merci de prendre votre pic-nic pour le midi. Nous nous installerons selon la météo soit sur les pistes soit sous couvert. Pour l’après-ski, une boisson chaude vous sera offerte dans un café. Moment libre pour discuter et échanger... Merci de venir avec votre propre matériel ! Pas de location possible sur place. Vous pouvez vous inscrire via le GOOGLE FORMS Délai d’inscription au 28 janvier 2024. !! dès le 29 janvier, nous ne prenons plus aucune inscription ! !! le nombre de participants et limité à 30 personnes. !! nous déclinons toutes responsabilités en cas d’accidents et pour les personnes mineures. Les trajets sont remboursés sur présentation du ticket de transport en PDF. Pour ceux qui viennent en voitures, notez les kms. Les pic-nics seront remboursés jusqu’à 15 francs sur présententation d’un justificatif. Sans justificatifs, pas de remboursements ! On se réjouit de vous revoir pour cette première activité de l’année ! SUIVANTE PRECEDENTE

  • On sait enfin ce qui a rendu Beethoven sourd ! | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine On sait enfin ce qui a rendu Beethoven sourd ! 23 mars 2025 Publié le : Le plomb contenu dans les vins de qualité médiocre que le célèbre compositeur consommait de manière immodérée en serait en cause la plus vraisemblable. Il y a près de 2 ans, aux écoutes s’était fait écho d’une recherche génétique qui n’avait pas réussi à identifier la cause de la surdité du célèbre compositeur Ludwig van Beethoven . On en sait désormais un peu plus sur les origines de la surdité de ce mythe de la musique classique devenu totalement sourd à l’âge de 45 ans, après que son audition a commencé à diminuer progressivement 20 ans plus tôt. Multiples causes invoquées Après que de multiples maladies aient été tour à tour invoquées, syphilis, colites chroniques, tuberculose et de nombreuses autres pathologies, de nouvelles analyses d'échantillons de cheveux vérifiés de l’Allemand avancent l’hypothèse que Beethoven serait devenu sourd suite à une intoxication prolongée par le plomb, les taux enregistrés dans sa chevelure dépassant plus de 100 fois les valeurs usuellement admises. Fréquente au cours des siècles passées, l’intoxication par le plomb, appelée saturnisme, était principalement due aux canalisations fabriquées à partir de ce métal, mais surtout en raison de l’usage généralisé de poudre destinées au perruques portées par les hommes de la bonne société. Ces causes ne sont pourtant pas incriminées dans la saturation capillaire en plomb de l'auteur de la Neuvième Symphonie et de L'Hymne à la joie. Selon une étude menée par le pathologiste Nader Rifai, chercheur de la Harvard Medical School, et publiée dans la revue «Clinical Chemistry», c’est sa consommation de vin qui serait plus vraisemblablement en cause, l’illustre compositeur étant connu pour son goût immodéré d’alcool, la légende affirmant même que sur son lit de mort, il buvait encore du vin à la cuillère. Pratique illégale mais fréquente Il se trouve qu’à l’époque, l’ajout du plomb aux vins de qualité médiocre était une pratique très fréquente, remontant même à l’Empire romain. La pratique, illégale, permettait d’en améliorer à moindre frais la saveur, en estompant les tanins et en rendant le vin considérablement plus doux. SUIVANT PRECEDENT

  • Sortie au Gstaad Menuhin Festival: spectacle «Breakin' Mozart» | FoRom Ecoute

    Retour à l'agenda Sortie au Gstaad Menuhin Festival: spectacle «Breakin' Mozart» 17 août 2024 Au Gstaad Menuhin Festival Pour la deuxième année consécutive, FoRom écoute offre deux soirées d’exception au Gstaad Menuhin Festival, avec le soutien d’un généreux donateur et avec la collaboration des organisateurs du festival. C’est une occasion privilégiée pour les personnes malentendantes de Suisse romande de vivre une soirée dans un cadre magnifique, avec des artistes de renommée mondiale, dans une salle équipée d’une boucle magnétique, et le tout gratuitement! Lire notre annonce Informations sur le spectacle (site du festival) Informations pratiques et inscriptions (PDF) SUIVANTE PRECEDENTE

  • FoRom écoute: un congrès consacré à la lecture labiale | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine FoRom écoute: un congrès consacré à la lecture labiale 1 juin 2025 Publié le : Le samedi 24 mai dernier, plus d’une centaine de malentendants en provenance de toute la Romandie ont afflué à Lausanne pour assister au traditionnel congrès annuel de FoRom écoute. La lecture labiale, thème de cette édition, a été plébiscitée par les participants. Un salon plein à craquer ! C’est en effet dans une des magnifiques salles de l’Hôtel Palace Lausanne que s’est déroulé le traditionnel congrès organisé chaque année par FoRom écoute. Et cette fois-ci, c’était carton plein, puisque près de 110 personnes, en provenance de tous les cantons romands ont fait le déplacement dans la capitale vaudoise. Et pour cause, puisque la thématique retenue pour cette édition avait de quoi fédérer le plus grand nombre : « la lecture labiale, une aide bienvenue pour les malentendants ». Art subtil de lire sur les lèvres et/ou de décrypter un message en déchiffrant également les mimiques du visage tout en faisant appel à l’indispensable suppléance mentale, la lecture labiale est, comme la prose de M. Jourdain, spontanément pratiquée par tous les malentendants et sourds, souvent sans même en avoir conscience. Attention extrême Seulement voilà : l’apprendre au travers de cours structurés et assurés par des enseignants spécifiquement formés, permet d’améliorer considérablement ses capacités de compréhension. C’est la raison pour laquelle l’intervention de la principale oratrice de la journée a suscité une extrême attention de la part du public. Enseignante depuis plus de 40 ans, et aujourd’hui à la retraite, Claudine Kumar a en effet au cours d’une intervention très pédagogique et assortie d’un large survol historique, détaillé les fondements théoriques de l’enseignement de la lecture labiale. Un enseignement qui implique non seulement une rigueur irréprochable mais aussi la maîtrise de soubassements méthodologiques qui ont été largement théorisés et développés par de nombreux chercheurs et enseignants depuis plus de 150 ans. Dans la deuxième partie de son intervention, l’oratrice est ensuite revenue sur son propre parcours, présentant au public le résultat et le bilan de ses nombreuses décennies d’expérience. Le clou de la matinée revient enfin à la table ronde qui a vu six personnes malentendantes raconter et expliquer en quoi la maîtrise de la lecture labiale avait pu changer leur vie quotidienne en profondeur, en particulier dans le cadre professionnel. Pour les six témoins qui ont accepté de livrer leur expérience personnelle, la maîtrise de la lecture labiale, quoiqu’ardue et demandant un véritable investissement en termes aussi bien de temps que d’efforts, est incontournable, tant les appareils auditifs ou les implants cochléaires restent insuffisants pour garantir des aptitudes complètes d’interactions sociales ou professionnelles. Financement La matinée, déjà fort riche en enseignements, s’est clôturée par une brève présentation de l’ARELL, l’association romande des enseignantes en lecture labiale qui coordonne le travail de ces professionnelles spécialisées, ainsi qu’une rapide mise en perspective des modalités de financement des cours de lectures labiale : soit par l’AI dans le cas de cours individuels, soit par FoRom écoute qui depuis des années, prend en charge l’organisation et le financement des cours collectifs. Les apports publics étant très limités, c'est grâce à une recherche active de fonds menée par les collaborateurs de la fondation, sous l'impulsion du président Laurent Huguenin, que ce financement permet ainsi de prendre en charge l'intégralité des cours collectifs si appréciés des malentendants et si indispensables à leur progression. Dans l’après-midi, ce fut au tour de l’ingénieur montpellierain Anthony Denux, lui-même enfant de parents sourds, de présenter la solution innovante Reeflect développée par la start-up qu’il a fondée. A l’instar de la lecture labiale, Reeflect, un système de domotique de sécurité fondé sur l’intelligence artificielle qui informe les sourds et malentendants, via des alertes lumineuses spécifiques, de chaque évènement qui survient dans leur domicile, s’inscrit ainsi dans l’écosystème des moyens disponibles pour améliorer les aptitudes de compréhension et d’interaction des personnes sourdes ou malentendantes. Comme toujours, cette très enrichissante journée de congrès s’est terminée par une séance consacrée aux questions du public, qui par sa participation et son engagement, a encore une fois confirmé son vif intérêt pour les très concernantes thématiques qui chaque année depuis plus de 20 ans, lui sont proposées par FoRom écoute. La totalité des interventions de la journée, en dehors de la table ronde consacrée à la lecture labiale pourront très prochainement être intégralement visionnées sur la chaine youtube de FoRom écoute. SUIVANT PRECEDENT

  • Communiqués | FoRom Ecoute

    Restez informé des dernières nouvelles, des événements et des initiatives importantes concernant les malentendants. Communiqués Communiqués et prises de position de forom écoute Communiqué de presse - Journée mondiale audition 2022: "Pour entendre à vie, ménageons notre audition !", 03.03.2022 Communiqué de presse - 20 ans forom écoute "forom écoute, 20 ans au service des malentendants romands", 04.02.2022 Communiqué de presse - Journée à Thèmes "S'adapter à la perte auditive : les défis de l'implant cochléaire et de la formation professionnelle", 07.06.2021 Communiqué de presse - journée mondiale audition 2021 : "Port généralisé du masque : un peu de souplesse pour les malentendants !", 03.03.2021 Communiqué d'information : "Les masques transparents en milieu hospitalier : Un sujet d'actualité", 27.04.2020 Attentes des malentendants - résultats du sondage, 01.2018 Édito du magazine aux écoutes no 74 :"Entre le marteau et l’enclume" - 1er bilan suite à l’introduction des forfaits en 2011, 03.2015 Communiqués et prises de position des partenaires de forom écoute AGILE.CH - Communiqué de presse, "Révision du droit pénal relatif aux infractions sexuelles", 08.06.2022 FSS - Communiqué de presse, "Loi fédérale sur les langues des signes, un premier succès", 01.06.2022 AGILE.CH - Communiqué de presse, "Calcul du taux d'invalidité", 01.06.2022 FSS - Communiqué de presse, "Loi fédérale sur les langues des signes, un vote crucial pour la communauté sourde de Suisse", 25.05.2022 FSS - Communiqué de presse, "L'assemblée des délégués de la Fédération suisse des sourds enfin à nouveau en présentiel", 23.05.2022 FSS - Communiqué de presse, "Accès des sourds à l'emploi : un chemin semé d'embûches !", 29.04.2022 Forum Handicap Valais-Wallis - Communiqué de presse, "Droits des personnes en situation de handicap : le Comité de l’ONU donne une mauvaise note à la Suisse. Et en Valais ?", 05.04.2022 FSS - Communiqué de presse, "Loi fédérale sur les langues des signes, un premier succès !", 04.04.2022 FSS - Communiqué de presse, "Une loi fédérale sur la langue des signes, la revendication de la Fédération suisse des sourds !", 28.03.2022 AGILE.CH - Communiqué de presse, "Les personnes en situation de handicap pourront enfin utiliser leurs moyens auxiliaires sans chicane", 02.03.2022 FSS - Communiqué de presse, "Inclusion des sourds sur le lieu de travail, une première amélioration", 02.03.2022 Restaurant VROOM - Communiqué de presse, "Ouverture", 30.01.2022 AGILE.CH - Communiqué de presse, "Capacitisme, validisme – ces normes qui discriminent", 16.12.2021 FSS - Communiqué de presse, "Guy Parmelin, président de la Confédération: "Les personnes sourdes comptent à mes yeux"", 26.11.2021 FSS - Communiqué de presse, "Reconnaissance des langues des signes, la Fédération suisse des sourds déçue du Conseil fédéral", 24.09.2021 FSS - Communiqué de presse, "Ecoles pour sourds de Suisse, l'oppression des langues des signes reconnue!", 23.09.2021 REISO - Communiqué de presse, Anne Edan présidente, 08.09.2021 FSS - Communiqué de presse, "La Fédération suisse des sourds met la population en garde contre les faux sourds", 12.07.2021 FSS - Communiqué de presse, ""Read to Deaf Kids" une plate-forme pour apprendre à lire aux enfants sourds", 01.07.2021 AGILE.CH - Communiqué de presse, ""Handicap & politique 2/21" Développement continu de l'AI : un remaniement s'impose !", 10.06.2021 FSS - Communiqué de presse, ""Des signes tangibles" un livre non seulement écrit, mais aussi interprété en langues des signes!", 31.05.2021 FSS - Communiqué de presse, "Enseignant de langue des signes, une profession enfin reconnue par le SEFRI", 16.04.2021 FSS - Communiqué de presse, "Emploi: la Fédération suisse des sourds publie «Toolbox», un guide pour l'embauche de personnes sourdes", 25.03.2021 Pro Infirmis, Communiqué de presse "Charte de l'inclusion culturelle", 16.09.20 Fondation EMERA - Communiqué de presse, "Données numériques d'accessibilité - Valais", 25.08.2020 FSS - Communiqué de presse, "Etude sur le marché du travail: les personnes sourdes et malentendantes guère promues", 24.08.2020 UCBA - Communiqué de presse, "L'app d'information aux clients "Inclusive CFF" remporte le Prix de la Canne blanche 2020", 13.07.2020 FSS - Communiqué de presse, "Attention aux faux sourds", 09.07.2020 FSS - Communiqué de presse, "Signwise.ch: la FSS lance sa plate-forme d'apprentissage des langues des signes en ligne", 02.07.2020 AGILE.CH - Communiqué de presse, "7ème révision de l'AI", 19.06.2020 UCBA - Communiqué de presse, "Journée internationale de la surdicité 2020", 08.06.2020 OFAS - Communiqué de presse, "Mesures de l'AI en langue facile à lire", 20.04.2020 AGILE.CH - Communiqué de presse, "Pandémie de coronavirus", 09.04.2020 Pro Senectute - Communiqué de presse, "Directives: aide d'urgence Covid-19", 07.04.2020 Fondation EMERA - Communiqué de presse, "Le Service Social Handicap met en place un accompagnement à distance...", 06.04.2020 UCBA - Communiqué de presse, "Comment vivre avec une surdicité en période de Coronavirus", 02.04.2020 Culture inclusive - "Découvrir une nouvelle façon de vivre une expérience culturelle", mars 2020 Fédération Suisse des Sourds - Communiqué de prese, "Coronavirus: des informations enfin accessibles aux personnes sourdes", 27.03.2020 OFAS - Communiqué de presse, "Lettre circulaire AI n°400", 23.03.2020 Fédération Suisse des Sourds - Communiqué de presse, "Reconnaissance de la langue des signes dans le canton de Berne", 04.03.2020 UCBA - Communiqué de presse, "Une nouvelle étude de l'UCBA recoit les chiffres du handicap visuel en Suisse à la hausse", 03.03.2020 Hörsystemakustik Schweiz - Communiqué de presse, "Les systèmes auditifs favorisent l'intégration professionnelle et sociale", 18.02.2020 Fédération Suisse des Sourds - Communiqué de presse, "Nouvelle offre d'apprentissage en ligne pour les langues des signes suisses", 24.01.2020 UCBA - Communiqué de presse, "Prix de la Canne blanche", 28.01.2020 Secrétariat général DFI - Communiqué de presse, "Informez-vous sur l'égalité pour les personnes handicapées", 13.12.2019 Inclusion Handicap - Communiqués de presse UCBA - Communiqué de presse "Evitons l'exclusion des enfants souraveugles", 28.11.2019 FSS - Communiqué de presse, 15.11.19, "Le Petit Prince" Culture inclusive - Communiqué de presse du 30.10.2019 AGILE.CH - Communiqué de presse, 7e révision de l'AI AGILE.CH - Newsletter - 01 2019 Procap Suisse, Communiqué de presse du 03.09.2019 AGILE.CH - 7ème révision de l'AI, Communiqué du 14.08.2019 Informations du plan stratégique en faveur des personnes handicapées, Communiqué du 05.07.2019 Attention aux "faux sourds", communiqué de la FSS 7.05.2019 Certification CE MÉDICAL Dispositif de Traitement HYPERACOUSIE et ACOUPHÈNES 22.03.2019 (PDF) AGILE : La couverture des besoins vitaux est pourtant un principe constitutionnel 4.01.2019 (PDF) Discrimination 2018 de FSS 15.01.2019 (PDF) Vivre avec une surdicécité, Communiqué site surdicécité.ch 27.11.2018 (PDF) Newsletter BFEH 4/2018 : L'égalité comme mandat, Conféderation Suisse 04.12.2018 La Fédération suisse des sourds dit non à une attaque contre les droits humains 01.11.2018 Enfin un système d’alarme en cas de catastrophe accessible aux sourds! 18.10.2018 (PDF) Liste des medecins ORL 01.01.2023 Liste de appareils auditifs remboursé par les assurances sociales 4.08 Prestations de l’AI, Appareils auditifs 01.01.2018 3.07 Prestations de l’AVS, Appareils auditifs 01.07.2018 AVS Forfait remboursement deux appareils auditifs 01.07.2018 (PDF) Articles de presse concernant la fondation et le handicap Cette liste n'est pas exhaustive, beaucoup d'articles ne sont peut-être pas présents Le Journal Du Jura - Journée Mondiale de l'Audition 2022, 03.03.2022 Tribune de Genève - Les problèmes de l’ouïe et de la vue coûtent 10 milliards par an, 08.02.2022 Le Journal Du Jura - 20 ans de forom écoute, 04.02.2022 REISO - Freiner la presbyacousie, soigner le lien social, 27.01.2022 20Minutes.ch - Les malentendants doivent aussi pouvoir passer des appels d’urgence, 16.12.2021 Lematin.ch - Session d'hiver, les malentendants doivent aussi pouvoir passer des appels d'urgence, 16.12.2021 Migros Magazine - Quoi ? Pardon ? Je n'entends pas ?, 06.12.2021 La liberté - Des élèves malentendants aident Terre des Hommes à sensibiliser au droit à l’éducation à Fribourg, 22.11.2021 Le Matin Dimanche - Supplément dons, 21.11.2021 Le Matin Dimanche - Interview Lucie Froidevaux, 21.11.2021 NZZ - Interview Lucie Froidevaux (allemand), 21.11.2021 Le Journal Du Jura - Article sur le film On est fait pour s'entendre, 20.11.2021 Arcinfo - Du théâtre pour les malentendants, 17.11.2021 24 heures - L'improvisatrice donne de la voix à ceux qui n'en ont pas, 09.11.2021 La liberté - Paul Loup, "Je suis sourd, et alors ?", 24.09.2021 Migros Magazine - De nombreux animaux entendent mieux que les êtres humains, 14.06.2021 Le Journal Du Jura - Journée à thème forom écoute, 11.06.2021 SDA/ATS - Les malentendants doivent pouvoir demander de l'aide seuls, 29.04.2021 Le Journal Du Jura - Journée mondiale de l'audition et port du masque, 03.03.2021 20Minutes.ch - Une personne sur 4 souffrira de problèmes d'audition en 2050, 02.03.2021 24 heures - OMS Santé publique, une personne sur 4 souffrira de problèmes d'audition en 2050, 02.03.2021 Le Journal Du Jura - Journée mondiale de l'audition, 25.02.2021 Le Nouvelliste - Télétravail, les dégâts d’audition sont presque toujours irréversibles, 23.02.2021 Le Nouvelliste - Cet appareil auditif qui a changé leur vie, 22.02.2021 Lausanne Cités - Ne pas pouvoir porter de masque ? Un calvaire !, 22.02.2021 Coopération - Aline Fournier, une artiste hors cadre, 16.02.2021 Le Nouvelliste - "Nous nous sentons délaissés", 09.02.2021 Femina - "Je suis infirmière et malentendante", 03.01.2021 24 heures - Ecole inclusive, Le masque transparent a fini par arriver, 18.12.2020 Le Nouvelliste - Ces masques qui isolent les malentendants, 12.11.2020 Lausanne Cités - Dépister les troubles auditifs pour éviter les démences, 30.10.2020 Tribune de Genève - Certains Genevois peuvent être dispensés du port du masque, 20.10.2020 Journal des arts et métiers - Les personnes sourdes et malentendantes sont moins susceptibles d’occuper des postes de direction, 10.2020 Le Progrès/Courrier - Tramelan, une boucle pour les personnes malentendantes à l'église Catholique, 11.09.2020 24 heures - Le masque rend les sourds et malentendants aveugles, 24.08.2020 Tribune de Genève - La Société des sourds de Genève veut ouvrir un bistrot, 12.08.2020 Le Temps - Un podcast à l'oreille, quand le son disparaît, 06.08.2020 RTS.ch - Le masque de protection, un handicap de plus pour les malentendants, 26.07.2020 24 heures - Podcast "Volume d'écoute", Olivier Gaches sonorise le quotidien des malentendants, 29.06.2020 Le Temps - Durant la pandémie, une communication brouillée avec les personnes sourdes malentendantes, 27.05.2020 SDA/ATS - L'information, un enjeu crucial pour les sourds et malentendants, 22.04.2020 24 heures - Malvoyante et malentendante, Lilly Schopfer ne se laisse pas abattre, 15.04.2020 Le Journal Du Jura - Langue des signes, fini de faire la sourde oreille, 22.02.2020 24 heures - Mobilité, un danger pour les malentendants, 25.01.2020

  • Rapport annuel | FoRom Ecoute

    Découvrez nos réalisations, nos projets et les impacts de notre travail pour soutenir les malentendants. Rapport annuel TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ TELECHARGEZ

  • Reeflect, une «oreille artificielle» à domicile | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine Reeflect, une «oreille artificielle» à domicile 19 janvier 2025 Publié le : Reeflect est un système de domotique de sécurité fondé sur l’intelligence artificielle qui informe les sourds et malentendants, via des alertes lumineuses spécifiques, de chaque évènement qui survient dans leur domicile. Après la France en juin 2025, le dispositif devrait être commercialisé en Suisse. « Mes deux parents sont sourds de naissance, je suis donc bien placé pour savoir à quel point il est préjudiciable de ne pas savoir ce qu’il se passe dans son environnement et se sentir en sécurité dans son domicile quand on présente une perte auditive. Le projet Reeflect est donc un projet à 100% né d’une expérience personnelle. » Créée à Montpellier en France, par le jeune ingénieur Anthony Denux, Reeflect ne cache pas son ambition de révolutionner et le mot n’est pas faible, la vie des sourds et malentendants lorsqu’ils sont chez eux. Mais de quoi s’agit-il exactement ? « Il s’agit d’un dispositif intelligent, une véritable oreille connectée à domicile qui vise à détecter les bruits pour alerter les personnes en cas de besoin, afin de leur garantir une autonomie complète », lance Anthony Denux. Notifications et alertes lumineuses Concrètement, grâce à une intelligence artificielle développée exclusivement à cet effet, des micros disposés dans chaque pièce sont capables de détecter les bruits importants de la vie quotidienne, qu’il s’agisse des pleurs d’un enfant, d’un robinet qui fuit, d’une porte qui claque ou de quelqu’un qui sonne à la porte, etc… Connectés à une application mobile, ces micros spécifiquement paramétrés, envoient immédiatement une notification au smartphone ou à la montre connectée du détenteur, tandis que simultanément des LED ou autres alertes visuelles peuvent être enclenchées. L’avantage du dispositif est qu’il permet à son utilisateur de définir toute une série de paramètres qui lui permettent d’identifier immédiatement la nature de l’alerte, et exactement dans quel lieu de la maison elle a été déclenchée. Par exemple, une couleur bleue lorsqu’un bébé pleure, verte quand la porte sonne, ou alors l’ensemble des lumières de la maison qui s’allument simultanément en cas d’alerte incendie etc. « Les alertes visuelles pour personnes déficientes auditives n’ont jamais vraiment évolué depuis des années, constate Anthony Denux qui a déjà plus de 1500 clients sur sa liste d’attente, sans compter de nombreuses demandes en provenance de Suisse. Notre souhait a vraiment été de disrupter le secteur en imaginant une solution qui réponde complètement aux besoins spécifiques de chacun, sous la forme d’un véritable assistant de vie à domicil e». Et d’ajouter : « Les sourds et malentendants ont été une communauté trop longtemps oubliée et je suis bien placé pour le savoir. C’est aussi pour cette raison que nous souhaitons proposer des prix abordables, 1000 euros pour équiper un appartement, 1500 pour une maison ». Nombreuses distinctions Aujourd’hui en voie de finalisation, la solution Reeflect qui a déjà raflé de nombreuses distinctions lors de concours réservés aux start-up, devrait entrer dès le début de cette année 2025 en phase de tests en conditions réelles, pour une commercialisation à destination du grand public prévue en juin 2025. La Suisse devrait suivre rapidement, « tant les demandes de renseignement en provenance de ce pays sont importantes » . Et ce n’est pas tout : au-delà des particuliers, Reeflect mise également sur le marché des entreprises, via un système non pas de ventes, mais d’abonnements, les besoins en termes d’aménagement de postes pour les sourds et malentendants étant très importants. www.reeflect.fr SUIVANT PRECEDENT

  • Missions | FoRom Ecoute

    Découvrez notre mission dédiée aux malentendants. Nous offrons des ressources, des conseils et organisons des événements pour améliorer la qualité de vie. Engagez-vous avec nous ! Missions Histoire Forom écoute est la fondation romande des malentendants. Son siège est à Pully. Organisme à but non lucratif, elle est une organisation faîtière romande dont l’objectif est de soutenir et défendre les intérêts des personnes malentendantes et devenues sourdes, celles-ci représentant près d’un million de personnes dans notre pays, tous degrés de déficience auditive confondus. Buts Promouvoir la lutte en faveur des personnes malentendantes et devenues sourdes Combattre l’isolement dont les personnes malentendantes et devenues sourdes sont victimes Sensibiliser et intéresser le public aux problèmes de la malaudition, un handicap invisible Favoriser, par tous les moyens possibles, l’insertion sociale et professionnelle des personnes malentendantes et devenues sourdes. Forom écoute collabore également avec diverses associations régionales de personnes malentendantes et devenues sourdes de Suisse romande. FoRom écoute, la Fondation romande des malentendants, est un organisme à but non lucratif, membre de l'IFHOH (International Federation of Hard of Hearing People).

  • L’optogénétique, une nouvelle piste prometteuse pour améliorer les implants cochléaires | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine L’optogénétique, une nouvelle piste prometteuse pour améliorer les implants cochléaires 7 janvier 2024 Publié le : Utiliser la lumière plutôt que l’électricité pour activer les neurones auditifs… Tel est le projet d’implant cochléaire futuriste sur lequel travaille une équipe de chercheurs en Allemagne. Le scientifique genevois Fadhel El May, lui-même implanté cochléaire, en fait partie. Appareil éprouvé depuis de longues années et qui équipe plusieurs centaines de personnes en Suisse, l’implant cochléaire est un dispositif de haute technologie qui permet, grâce à des électrodes, de transformer les ondes sonores en influx électriques destinés à stimuler le nerf auditif, et ainsi restituer l’audition. Cette restitution sonore est cependant imparfaite – il est ainsi difficile de suivre une conversation dans une ambiance bruyante ou d’écouter de la musique - et de nombreuses équipes dans le monde, travaillent à tenter d’en améliorer la qualité. Tobias Moser… Basé en Allemagne à Göttingen, le médecin ORL et professeur en neurosciences auditives Tobias Moser, également fondateur de l’Institute for Auditory Neuroscience de l’University Medical Center Göttingen, est ainsi à l’origine d’une innovation qui pourrait se révéler décisive pour de très nombreux sourds ou malentendants, innovation fondée sur une nouvelle technologie, l’optogénétique. Dans ce projet, l’objectif est de stimuler le nerf auditif de la cochlée non par des impulsions électriques mais par de la… lumière. « L’actuelle stimulation par des électrodes est disons, assez grossière, explique le chercheur genevois Fadhel El May lui-même équipé d’un implant cochléaire et qui effectue son doctorat dans l’équipe du Pr Moser. La lumière elle en revanche, contourne toute conductivité électrique et peut être façonnée comme un rayon laser afin d'être dirigée avec beaucoup plus de précision, ce qui autoriserait grâce à des fréquences mieux sélectionnées, une bien meilleure restitution sonore » . Problème : les cellules de la cochlée ne sont, de manière naturelle, pas sensibles aux rayons lumineux. Afin d’y remédier, et c’est là que l’optogénétique intervient, les chercheurs introduisent dans l’oreille, grâce à des virus inactivés, un matériel génétique qui permettra de produire des protéines photosensibles, qui seront ensuite capables de réagir aux stimulations lumineuses induites par les futurs implants cochléaires optiques. « Aujourd’hui, nos travaux se développent sur deux axes. Ils visent à vérifier l’efficacité de la thérapie génique utilisée transférant des protéines sensibles à la lumière dans le nerf auditif d’une part, et l’efficacité du dispositif implantable d’autre part », explique Fadhel El May. Une efficacité qui peut se mesurer par l’étude du comportement des petits rongeurs implantés à titre expérimental - des gerbilles-, ainsi que par le recours à des enregistrements cérébraux. Avec de premiers résultats pour l’heure très encourageants. « Au vu des premiers résultats, la précision des stimulations enregistrées dans le cerveau des gerbilles semble meilleure que pour l’implant électrique » se réjouit encore Fadhel El May. Chemin encore long Évidemment, le chemin est encore bien long avant de pouvoir espérer, un jour, faire bénéficier les patients sourds ou malentendants de ce type d’implantation. Les recherches s’effectuent à plusieurs niveaux et en explorant de multiples pistes. Ainsi de nombreux vecteurs viraux, de promoteurs (comme une adresse postale) et de candidats de protéines sensibles à la lumière font l’objet d’évaluations, ainsi que l’implant cochléaire optique lui-même est un projet d’ingénierie majeur en soi. Sans compter bien sûr, les différentes et complexes procédures administratives réglementaires qui encadrent toujours ce type de recherches et les essais cliniques. « Il reste beaucoup à faire mais nous espérons démarrer un premier essai clinique chez l'homme en 2027 », conclut Fadhel El May qui, après l’obtention de son doctorat fin 2024, espère quant à lui bien pouvoir continuer ses recherches dans ce domaine qui le concerne à plus d’un titre. SUIVANT PRECEDENT

  • Fortunio d’André Messager pour la 1 ère fois à l’Opéra de Lausanne | FoRom Ecoute

    Retour à l'agenda Fortunio d’André Messager pour la 1 ère fois à l’Opéra de Lausanne 19 novembre 2024 A l'Opéra de Lausanne Pour la 1ère fois à l'Opéra de Lausanne Chanté en français (surtitres en français et en anglais) FoRom écoute, avec le soutien d’un généreux donateur, offre des places aux personnes malentendantes et leur(s) accompagnant (s) pour la comédie lyrique Fortunio d’André Messager . La représentation sera donnée le 19 novembre prochain à l’Opéra de Lausanne. Les places en première catégorie prévues à cette occasion se trouvent dans les premiers rangs du parterre, juste en face de la scène. Dans la zone de réception de la boucle magnétique. Pour en savoir plus, découvrez ci-dessous le programme et les informations pratiques. https://www.opera-lausanne.ch/show/fortunio/ Au plaisir de vous y retrouver Sur inscription, le nombre de places est limité ! prestations@ecoute.ch SUIVANTE PRECEDENTE

  • «Je suis là pour répondre aux besoins des sourds et malentendants» | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine «Je suis là pour répondre aux besoins des sourds et malentendants» 26 novembre 2023 Publié le : Depuis deux ans, Tanya Sebaï est infirmière référente pour les patients sourds et malentendants au Service de médecine de premier recours des Hôpitaux Universitaires de Genève. Retour sur une expérience hors du commun, et unique en Suisse. Quel est votre rôle en tant qu’infirmière référente ? Ma tâche est très vaste. Mon rôle est d’être un lien entre les personnes ayant un problème d’audition et les personnes entendantes dans le milieu hospitalier et ce afin que l’interaction se passe au mieux et que tout le monde puisse se comprendre. J’agis donc de manière transversale dans les différents services des HUG lorsque s’exprime un besoin dans la communication avec les personnes sourdes ou malentendantes. Je mets à la disposition de ces dernières des outils de communication, je peux aussi les accompagner aux consultations ambulatoires en cas de besoin, leur venir en aide pour les démarches administratives, etc. Enfin, je travaille pour sensibiliser et informer les professionnels des HUG sur toutes les questions en lien avec la surdité. Quelles sont les qualités pour exercer ce travail ? Évidemment, il faut beaucoup de patience, ainsi que des capacités d’écoute et d’empathie. Il est aussi très important de bien connaître la culture sourde tant celle-ci recèle des éléments typiques qui ne sont pas ou peu connus. Et puis, il faut bien sûr connaître l’organisation hospitalière pour pouvoir faire le lien avec les patients malentendants et sourds tout en leur expliquant exactement ce qu’ils y vivent. Enfin, en tant qu’infirmières les compétences en santé sont indispensables… Le fait d’être vous-même sourde vous aide-t-il dans votre tâche ? C’est sûr, la connaissance intime de la culture sourde, la capacité à comprendre ce que vivent et ressentent les patients et enfin la maîtrise de la langue des signes, m’aident beaucoup dans mon rôle de création de liens entre les soignants et les patients. Et puis enfin, dans un autre registre, une infirmière malentendante, c’est aussi un peu un modèle pour beaucoup de patients eux même sourds ou malentendants qui peuvent voir qu’une professionnelle sourde peut travailler normalement. Comment avez-vous obtenu ce poste ? Je travaillais comme infirmière dans un EMS depuis de longues années quand un jour, les HUG, qui ont su que j’étais la seule infirmière sourde du canton de Genève, m’ont contactée dans le cadre d’un projet d’amélioration d’accessibilité pour les personnes sourdes. J’ai tout de suite dit oui sans la moindre hésitation, car c’était à la fois une très belle opportunité pour moi, mais aussi un grand pas pour les personnes sourdes et malentendantes. Qu’est-ce qui est le plus difficile dans votre travail ? C’est un métier nouveau et je suis seule à l’exercer. Alors parfois, il faut jongler pour concilier les rendez-vous, d’autant que je ne peux pas être présente sur les lieux 24 heures sur 24 et 7 jours 7. La clé c’est donc d’anticiper, d’établir des priorités et de trouver des solutions en avance, comme par exemple, rédiger au préalable des éléments pour que la personne sourde puisse présenter elle-même aux soignants son motif de consultation. Je peux aussi proposer de prêter une tablette pour pouvoir communiquer par écrit etc. Qu’est-ce qui vous a le plus surprise ? Je m’attendais et c’est normal, à ce que les patients expriment de la reconnaissance pour l’aide que je peux leur rapporter. Mais ce qui m’a beaucoup surprise, c’est d’avoir aussi beaucoup de marques de reconnaissance de la part des soignants eux-mêmes qui me disent souvent : « merci pour ta présence, sans toi on n’y serait pas arrivés !». Cela montre à quel point mon rôle est important et indispensable, alors même que ce poste d’infirmière référente surdité n’existait pas il y a deux ans ! Photo Louis Brisset/HUG SUIVANT PRECEDENT

  • Sortie au Gstaad Menuhin Festival: concert orchestral de la pianiste Hélène Grimaud | FoRom Ecoute

    Retour à l'agenda Sortie au Gstaad Menuhin Festival: concert orchestral de la pianiste Hélène Grimaud 18 août 2024 Au Gstaad Menuhin Festival Pour la deuxième année consécutive, FoRom écoute offre deux soirées d’exception au Gstaad Menuhin Festival, avec le soutien d’un généreux donateur et avec la collaboration des organisateurs du festival. C’est une occasion privilégiée pour les personnes malentendantes de Suisse romande de vivre une soirée dans un cadre exceptionnel, avec des artistes de renommée mondiale, dans une salle équipée d’une boucle magnétique, et le tout gratuitement! Lire notre annonce Informations sur le spectacle (site du festival) Informations pratiques et inscriptions (PDF) SUIVANTE PRECEDENTE

  • Nabil El May: «Nier ma surdité ne m’a pas aidé» | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine Nabil El May: «Nier ma surdité ne m’a pas aidé» 26 janvier 2025 Publié le : Âgé de 34 ans, le Genevois Nabil El May est sourd depuis son plus jeune âge et implanté cochléaire à 14 ans. Diplômé de la prestigieuse École Hôtelière de Lausanne, il raconte son long chemin pour se réapproprier son identité de sourd. Depuis quand êtes-vous malentendant ? En fait, je suis sourd. Et j’ai longtemps pensé que j’étais né sourd. Ce n’est que récemment que j’ai compris qu’en réalité c’était un déficit auditif qui s’est progressivement péjoré jusqu’à une surdité totale, à l’adolescence. Êtes-vous appareillé ? Je l’ai été dès l’âge de deux ans. Et puis à l’âge de 14 ans, j’ai été implanté cochléaire, d’un seul côté. Je n’entends donc aujourd’hui que d’une seule oreille, celle qui a été implantée… On a du mal à croire que vous êtes sourd, à voir comment vous vous exprimez et interagissez… Eh bien c’est un problème pour moi (Rires) ! Car le fait que je m'exprime aussi bien invisibilise encore plus mon handicap qui est bien réel. Et puis, cette qualité d'élocution relève surtout d’un énorme travail avec des logopédistes… Comment s’est déroulée votre scolarité ? J’ai grandi à Genève et mes parents ont fait le choix de me scolariser dans le privé, avec l’idée que cela allait favoriser mon adaptation. Les classes y étaient plus petites, l’encadrement et le soutien des enseignants, optimal. Tout cela compte énormément quand on a un handicap auditif. D’autant que dans l’intervalle, j’avais fait une expérience vaudoise dans l’enseignement public et cela n’avait pas été très concluant, en particulier sur le plan émotionnel. Les choses se sont-elles arrangées ? Oui dès lors que je suis revenu dans le privé, tout en procédant à l’implantation cochléaire, j’ai été libéré en quelque sorte. C’était une nouvelle vie et j’ai réussi à décrocher ma maturité. Vous entamez ensuite des études à l’École Hôtelière de Lausanne (EHL), pourquoi ce choix ? Depuis tout petit, j'ai toujours eu envie de travailler dans ce monde qui me passionne. Et puis, je viens d'une famille orientale où l'hospitalité et la convivialité sont très importantes… Tout de même, tenter une formation dans l’hôtellerie quand on est sourd, il fallait oser… C'est vrai que les conseillers d'orientation m’ont plutôt suggéré des filières où l’aptitude à la communication était moins importante. Mais je ne les ai pas suivis, je voulais absolument intégrer l’EHL et son prestige (Rires). Et à l’inverse, l’EHL a-t-elle accepté sans difficultés votre candidature ? Il y avait bien sûr une sélection à l’entrée. Mais l’EHL étant une école qui aime cultiver la différence, j’ai joué de mon handicap que j’ai présenté comme un atout. Et cela a marché ! Comment se sont déroulées vos études ? Même dans une école comme l’EHL où les gens sont sensibilisés à la question du handicap, la réalité finit souvent par reprendre ses droits. Au début on s’adapte à la personne sourde, mais sur la durée c’est plus difficile, d’autant qu’il s’agit d’un handicap invisible. Avec le recul, je dirais qu’il n’a pas été facile pour moi de trouver ma place même si finalement je me suis adapté en me plaçant au premier rang durant les cours et en expliquant mon problème aux enseignants qui du reste étaient très compréhensifs… Il m’a quand même fallu beaucoup travailler pour compenser et j’ai passé bien du temps à la bibliothèque (rires). Vous décrochez votre diplôme en 2015. Que faites-vous ensuite ? Après quelques stages dans le tourisme, je fais durant une année un master en stratégie internationale, à Lancaster en Grande-Bretagne. Et en 2018, je vais travailler à Paris comme « Ambassadeur » pour un hôtel de la chaîne citizen M. Et aujourd’hui, que faites-vous ? Je travaille toujours pour la même chaîne, mais ici à Genève. Et puis en avril dernier, j’ai pris des responsabilités au sein de la Fédération suisse des sourds (FSS) comme représentant « Suisse romande ». J’ai donc aujourd’hui deux emplois ! Pourquoi avez-vous réduit votre engagement dans l’hôtellerie ? L'hôtellerie reste pour moi un challenge, même si je n’ai pas pu évoluer dans la hiérarchie comme je l’aurais souhaité, probablement en raison de mon handicap auditif. Et puis, j’ai longtemps évolué dans une sorte de déni de la surdité et cela ne m’a pas aidé. J’avais donc besoin de mon réapproprier mon identité de sourd. La FSS représentait une opportunité de le faire tout en œuvrant à des solutions d’inclusivité. Pour cette raison, j'aimerais d’ailleurs m'investir dans des projets d'inclusion dans l'hôtellerie. En tant que personne qui est dans les 2 mondes, puisque je ne suis pas un sourd signeur, je suis convaincu que je peux beaucoup apporter. SUIVANT PRECEDENT

  • Inscription au congrès | FoRom Ecoute

    Inscription au congrès Inscription au congrès Politesse* Madame Monsieur Autre Nom de famille* Prénom* Adresse Pays/Région* Adresse* Adresse - ligne 2 Ville* Code Postal* Date de naissance* Jour Mois Mois Année Téléphone* E‑mail* Type de handicap auditif * Malentendant Aucun Autre handicap* Mobilité réduite Aucun Etes-vous appareillé * Oui Non Etes-vous à l'AVS/AI* Oui, AVS Oui, AI Non Souhaitez-vous vous inscrire à notre newsletter?* Oui Non Remarques J'ai pris note que l'événement a lieu cette année au Lausanne Palace * J'ai pris note que le paiement se fera en cash sur place. CHF 50.- par personne / CHF 85.- par couple AVS/AI/étudiant * Envoyer

  • A Genève, bientôt un guichet administratif pour les personnes sourdes et malentendantes | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine A Genève, bientôt un guichet administratif pour les personnes sourdes et malentendantes 1 décembre 2024 Publié le : Suite une motion déposée il y un an et demi, le Grand Conseil genevois vient d’accepter à l’unanimité le principe de la création d’un guichet unique destiné à soutenir les personnes déficientes auditives dans leurs démarches administratives. La balle est désormais dans le camp du Conseil d’État. C’est un grand pas que le canton de Genève s’apprête à accomplir en faveur de l’inclusion des personnes sourdes et malentendantes. En août 2023 en effet, un groupe de députés emmenés par Francisco Taboada, patron d’une société de gestion et… athlète paralympique en raison d’une cécité qui l’a frappé depuis son plus jeune âge, déposait une proposition de motion invitant le gouvernement genevois à « créer un guichet étatique unique pour les personnes sourdes et malentendantes afin de les soutenir dans leurs démarches administratives ». « Ces personnes n’ont pas de répondants envers qui se tourner en cas de besoin d’information et/ou de soutien, car il n’existe pas de structures adaptées à leur handicap, peut-on ainsi lire dans l’exposé des motifs accompagnant la proposition de motion. Alors qu’il est déjà difficile pour des personnes ordinaires de procéder aux démarches administratives fastidieuses requises par le canton de Genève, il l’est davantage pour les personnes sourdes et malentendantes.». Accès garanti et amélioré « Selon nous, il est important que l'accueil des personnes sourdes et malentendantes au niveau des services publics soit garanti et amélioré, explique le député Laurent Seydoux, qui a cosigné la motion. C’est d’autant plus important lorsque l'on tient compte également des personnes âgées, de plus en plus nombreuses, et qui présentent des troubles de l’audition. D’une manière générale, il est donc important de faire en sorte que l’ensemble des personnes ayant des déficits auditifs se sentent pleinement intégrées dans la société ». Signe du consensus qui entoure cette démarche, la motion a été adoptée cet été, après plusieurs mois de travaux, à l’unanimité des membres de la Commission des affaires sociales chargée de l’étudier, mais aussi à l’unanimité des 75 députés au Grand Conseil présents le jour du vote. « A Genève, ce sont entre 500 et 600 personnes qui sont concernées, hors personnes âgées avec troubles de l’audition » a ainsi expliqué Francisco Taboada, lors de son audition par la Commission des affaires sociales. « Ces personnes connaissent des obstacles qui les empêchent d’effectuer de nombreuses démarches, alors même que les articles constitutionnels au niveau fédéral et cantonal garantissent l’accès aux prestations, quel que soit le handicap ». La balle est désormais dans le camp du Conseil d’Etat qui, d'ici la fin de l'année, doit préparer un rapport à l'intention du parlement comprenant notamment une estimation budgétaire. Si le Grand Conseil accepte, le projet pourra aller de l'avant et des modifications légales ainsi que des augmentations au budget seront déposées. S'il n'est en revanche pas satisfait de la réponse, le délai sera prolongé de 6 mois pour élaborer une réponse à la motion. Mesures concrètes attendues « Cette motion n’est certes pas contraignante, mais j’ai bon espoir pour la suite, pronostique Laurent Seydoux. C’est désormais le Conseil d'État qui doit revenir avec des mesures concrètes. Très vraisemblablement, l’une de ces mesures sera la retranscription des débats du Grand Conseil en langue des signes, inexistante à ce jour. On a longtemps pensé que le sous-titrage suffisait avant de prendre conscience que bien des jeunes ayant des déficiences auditives présentent également des troubles de l’apprentissage qui ne leur permettent pas de lire à une vitesse suffisante ». SUIVANT PRECEDENT

  • Guillaume Berbier, un malentendant au volant des géants des routes | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine Guillaume Berbier, un malentendant au volant des géants des routes 1 mai 2023 Publié le : Malentendant de naissance et employé polyvalent à la commune de Saint-Imier dans le Jura bernois, Guillaume Berbier a décroché en 2021 son permis de conduire poids-lourds. Une manière d’exaucer un rêve d’enfant, mais aussi pour ce sapeur-pompier volontaire, de venir en aide à ses concitoyens. « C’est un rêve qui demande beaucoup d’efforts et même d’argent, mais franchement quand on est au volant là-haut, c’est magnifique car on est vraiment dans un bureau panoramique ». Le « bureau panoramique » de Guillaume Berbier, c’est la cabine de ces poids-lourds de plusieurs dizaines de tonnes qu’il a enfin le droit de conduire. Depuis le 29 octobre 2021, 6 ans après avoir décroché son permis voiture, ce Jurassien de 27 ans qui travaille pour les travaux publics de la commune de Saint-Imier en tant qu’employé polyvalent, est en effet l’heureux détenteurs d’un permis poids lourds dit « Catégorie C ». Passion Une consécration pour ce malentendant de naissance qui, depuis sa plus tendre enfance, est fasciné par tout ce qui roule. « Les poids lourds, c’est une passion qui remonte à très loin explique-t-il, déjà lorsqu’enfant, je voyais mon père conduire de petits camions ». Alors quand Guillaume a une passion, il la suit jusqu’au bout. Dans une interview accordée à « aux écoutes » en 2016 , il expliquait déjà comment, malgré le handicap auditif, il avait réussi à décrocher son CFC d’agent d’exploitation, pour devenir - là aussi un rêve d’enfance-, cantonnier, comme son père. Alors pour le permis poids-lourds, il n’a également pas hésité à mettre le paquet. D’abord au sens propre, parce qu’il lui a fallu débourser la jolie somme de 7500 francs, un investissement d’autant plus évident pour lui, qu’il était doublé d’une arrière-pensée professionnelle : « Dès la fin de mon apprentissage, j’avais constaté que de plus en plus de communes demandaient le permis poids lourd pour leurs agents de voirie. Je savais donc que cela allait également m’ouvrir des portes en termes d’emploi et de carrière ». Il y a l’argent, mais il y a également l’effort, car il a fallu une année entière pour que Guillaume puisse décrocher le précieux sésame. Car pour ce malentendant et dysphasique de surcroit, il a fallu travailler deux fois plus pour valider la partie théorique. « C’est vrai, cela m’a demandé pas mal d’efforts et beaucoup de travail en particulier à la maison pour réviser sur une application » , raconte-t-il. Pratique en 4 mois… La pratique pour ce jeune homme quasiment né avec un volant entre les mains, a en revanche été bien plus simple, puisque l’affaire, rondement menée, a été réglée en à peine quatre mois. « L’examen s’est très bien passé avec un expert qui était informé de mon problème auditif et avec qui je pouvais reformuler pour vérifier que j’avais bien compris les consignes. C’était vraiment cool ». Conduire un poids lourd de plusieurs dizaines de tonnes n’est pourtant pas chose aisée, car il ne s’agit pas d’une simple réplication à plus grande échelle, des habituelles règles de conduite automobile. « Un camion est bien plus large, plus haut, plus long, tout est plus complexe avec bien plus d’angles morts. La conduite demande beaucoup de concentration, avec des sensations différentes de celles de la voiture et parfois même des manœuvres différentes pour négocier les ronds-points ». Pour l’heure, Guillaume n’utilise pas son permis de conduire de la cadre de sa profession, des certifications supplémentaires étant nécessaires. En revanche, dès le premier janvier 2024, ce sapeur-pompier volontaire de longue date conduira les immenses mastodontes rouges qui sirènes hurlantes se précipitent à chaque alerte pour venir en aide à la population. SUIVANT PRECEDENT

  • Pourquoi les malentendants et sourds n’ont pas participé aux Jeux paralympiques? | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine Pourquoi les malentendants et sourds n’ont pas participé aux Jeux paralympiques? 14 septembre 2024 Publié le : Les sourds et malentendants ont leurs propres Jeux olympiques appelés Deaflympics, accessibles à toute personne dont la perte auditive est supérieure à 55 décibels. Une spécificité qui remonte à 1924, liée pour l’essentiel à l’histoire du mouvement sourd. Alors que les Jeux paralympiques de Paris se sont terminés ce dimanche, les plus observateurs auront sans doute remarqué l’absence de tout malentendant ou sourd dans les compétitions. S’agit-il d’un ostracisme ? Pas du tout ! L’explication réside ailleurs, plus exactement dans le fait que les sourds et malentendants ont… leurs propres jeux olympiques. Pour comprendre cette spécificité, il faut remonter à 1924, soit 36 ans avant les tout premiers Jeux paralympiques qui ne datent eux que de 1960. C’est au début du 20e siècle en effet que furent fondés les premiers Deaflympics, à l’époque appelés « International Silent Games », destinés exclusivement aux sportifs sourds et malentendants. Leur fondateur est un certain Eugène Rubens-Alcais, un militant sourd français surnommé « Le Coubertin sourd » qui avait consacré une large part de sa vie à la défense de la langue des signes, alors largement ostracisée et marginalisée. Prendre son destin en main « Le point de départ de la création de ces jeux, c’était l’idée qu’il appartenait aux sourds et malentendants de prendre eux-mêmes leur destin en main, y compris dans le domaine sportif, explique un spécialiste du mouvement sourd. Cela s’inscrivait également dans la revendication du fait que la surdité n’était pas un handicap, encore moins en matière de pratique sportive, mais une culture linguistique minoritaire ». Un point de vue largement confirmé par le Comité international des sports des sourds, -officiellement reconnu par le Comité international olympique et non le Comité paralympique international-, et dont la position est explicite : « Les sourds ne se considèrent pas comme des handicapés mais plutôt comme faisant partie d’une minorité culturelle et linguistique. (…) Au sein de la communauté des sourds, le soutien à des Jeux séparés est prépondérant ». « De manière très pragmatique, l’autre raison de la séparation entre Deaflympics et Jeux paralympiques est financière , ajoute notre expert. Avec leurs propres Jeux, les athlètes des Deaflympics sont capables de communiquer entre eux, ce qui implique un bien moindre recours aux interprètes, très onéreux ». Signaux lumineux Seule condition pour participer aux Deaflympics : avoir un seuil d’audition inférieur à 55 décibels dans la meilleure des deux oreilles, et surtout ne pas porter d’appareillage auditif durant la compétition, au cours de laquelle s’appliquent d’ailleurs exactement les mêmes règles sportives que pour les Jeux olympiques ordinaires. Seule différence notable : l’usage de signaux lumineux stroboscopiques pour marquer le départ des différentes épreuves. Une trentaine de disciplines dont l’athlétisme, la natation, le curling, le ski etc figurent au programme de ces Jeux qui se tiennent tous les deux ans, en alternance entre jeux d’été et jeux d’hiver. La principale difficulté réside aujourd’hui dans la faiblesse des recettes publicitaires, quasi-inexistantes, et qui ne suffisent pas à en assurer le financement. Quant à la Suisse, elle a participé à l’aventure des Deaflympics quasiment depuis leurs débuts, dès 1928, avec des délégations allant d’une trentaine d’athlètes au début des années 2000, à 8 athlètes seulement, âgés de 18 à… 63 ans qui ont participé à la dernière édition en mars dernier, à Erzurum en Turquie. SUIVANT PRECEDENT

  • Sous-titrage | FoRom Ecoute

    Accédez à des services et des outils pour améliorer la compréhension audiovisuelle des malentendants. Sous-titrage SWISS TXT, filiale de SSR, diffuse des sous-titres depuis plus de 25 ans pour les chaînes de SRG SSR. Cette prestation, lancée en 1985 en Suisse romande (TSR), constitue aujourd’hui un service complet pour tous les téléspectateurs qui ont besoin du sous-titrage pour suivre les programmes de télévision. Depuis le 1er janvier 2021, SWISS TXT sous-titre 75 % du programme télévisé sur les deux chaînes de la RTS. En règle générale, tous les programmes sont sous-titrés à partir de 14h30 sur RTS Un -sauf cas très particulier-, une grande partie de la journée l’est sur RTS Deux, et tout le sport est sous-titré en direct sur les deux chaînes. Programme des sous-titrages RTS Un Programmes sous-titrés - RTS 1_Fin octobre 2022 RTS Deux Programmes sous-titrés - RTS 2_Fin octobre 2022 Les émissions de RTS sont désormais diffusées sur Internet avec des sous-titres Les émissions mises en ligne à la rubrique «Vidéo» du site rts.ch peuvent désormais être visualisées avec les sous-titres pour sourds et malentendants. RTS et SWISS TXT répondent ainsi à une demande de longue date de ce public. Pour activer les sous-titres, il suffit de cliquer sur «ST» en bas à droite de la vidéo. Les sous-titres sont à nouveau désactivés en cliquant une nouvelle fois sur «CC» (close captions). Les sous-titres utilisés sur le site sont les mêmes que ceux diffusés dans le cadre de la télévision classique. Sur Internet, les émissions concernées sont celles que SWISS TXT sous-titre déjà pour la télévision classique et qui sont signalées comme telles sur rts.ch, à la rubrique Programme TV. En 2013, plus de 7’600 heures de programmes télévisés de la RTS ont été sous-titrées. Les sous-titres peuvent être visualisés sur tous les ordinateurs de bureau mais pas sur les tablettes électroniques, pour lesquelles une solution spécifique sera réalisée ultérieurement. Donnez-nous votre avis sur le sous-titrage ! La télévision suisse envisage d’éventuellement sous-titrer des programmes supplémentaires. Afin de pouvoir leur transmettre vos souhaits, merci de nous faire savoir quels émissions et programmes vous intéresseraient plus particulièrement. Merci de nous faire part de vos suggestions mais également de tous vos commentaires, remarques, souhaits, problèmes concernant le sous-titrage info@ecoute.ch tél. 021 614 60 50 fax 021 614 60 51 Accord sur les prestations SSR en faveur des personnes handicapées sensorielles https://www.srgssr.ch/fr/news-medias/news/offres-de-la-ssr-destinees-aux-personnes-handicapees-sensorielles/ Le 13 juin, la SSR-SRG et les 7 associations d’aide aux personnes handicapées sensorielles ont signé le nouvel accord pour la période 2012-2017. Voir le communiqué de presse de la SRG-SSR Site de la SRG-SSR Infos sous-titrage Infos générales : En Suisse, la nouvelle loi sur la Radio et la télévision est entrée en vigueur le 1er avril 2007. À fin 2010, l’objectif des 33% de sous-titrage a été atteint. Info pour les sous-titrages par Swisscom TV : Le sous-titrage se fait généralement via le télétexte que ce soit par réception analogique ou numérique. Or chez Swisscom TV, outre le télétexte, certains sous-titres sont donnés en DVB (Digital Video Broadcasting « diffusion vidéo numérique »). Il faut alors appuyer sur la touche « option » de la télécommande afin d’activer la chaîne correspondante et cela indépendamment que les chaînes soient HD ou non. Toutefois, nous rappelons que certaines chaînes ne sont pas sous-titrées. Vidéo à la demande : La société Iguane, filiale de Liazrd CSE, spécialiste dans le sous-titrage, vient récemment de lancer un nouveau site de vidéo à la demande dédié aux sourds et aux malentendants, IGUANE VIDEO (@IGUANEVIDEO ) / X Il s’agit d’une plateforme proposant uniquement des films ou des documentaires qui ont été spécialement sous-titrés pour les personnes ayant une déficience auditive. Notre dossier sur le sous-titrage (aux écoutes no 49, janvier 2011, PDF 1,9 Mo) Sous-titrage

  • Isabelle Aeschlimann : « Mon roman vise à sensibiliser sur la malentendance » | FoRom Ecoute

    Retour au Magazine Isabelle Aeschlimann : « Mon roman vise à sensibiliser sur la malentendance » 21 juillet 2023 Publié le : Publié le 29 juin dernier, coup de cœur du Jury du Prix Femme Actuelle 2023, le roman Les secrets de nos cœurs silencieux de la Jurassienne Isabelle Aeschlimann met en scène une héroïne malentendante. Rencontre avec une autrice passionnée par la différence. Vous venez de publier votre deuxième livre, Les secrets de nos cœurs silencieux ? D’où vous vient ce goût pour l’écriture ? Très jeune, j'ai fait du théâtre et de la peinture. Ensuite, je me suis tournée vers l'écriture qui a été pour moi un moyen différent de m'exprimer. Du reste, j'ai beaucoup écrit dans des journaux intimes, car cela m'aidait à mettre mes idées au clair. Et puis un jour, est venue l’envie d'écrire des fictions, plus précisément le genre de livres que j'aimerais lire moi-même. Écrire est fascinant car c'est un merveilleux moyen d'être dans d’autres mondes, de se mettre dans la tête des gens et de les comprendre… Comment vous est venue l’idée d’écrire ce roman ? Je m’intéresse depuis toujours à la notion de différence car j’y ai été confrontée dans mon milieu familial. C’est pour cela que j’ai souhaité qu’au moins un de mes personnages présente disons, une particularité. Et puis, j'ai grandi dans un petit village qui est très solidaire, très soutenant avec ceux qui ont un enfant différent, mais avec quand même le risque d'être enfermé dans une étiquette… Pour moi, il était important d’explorer ce thème de la différence, de la difficulté de trouver sa place et d'être soi malgré le regard des autres… Pourquoi vous êtes-vous intéressée plus particulièrement au handicap auditif ? Dans mon entourage et c’est d’ailleurs le cas pour un grand nombre de personnes en Suisse, il y a des personnes malentendantes. Et ce qui m'a toujours intéressée, c'est qu’il s’agit d’un handicap invisible et très particulier, car si la personne ne dit pas qu'elle est malentendante personne ne peut le deviner. Travaillant moi-même dans le monde de la communication, cela m’a particulièrement touchée. Comment avez-vous fait pour appréhender et comprendre l’univers de la malentendance ? J’ai beaucoup lu et je me suis rapprochée de forom écoute en participant à des journées à thème pour comprendre cette problématique si spéciale. D’ailleurs, je me souviens toujours que lors d’une de ces journées à thème, un malentendant a lancé : « ce n’est pas nous, mais ce sont nos proches qui devraient être là pour comprendre ce que nous vivons ». J’ai trouvé cela très juste et c’est l’un des buts de ce roman qui a une dimension de sensibilisation, en permettant aux lecteurs qui ne la connaissaient pas de mieux appréhender cette problématique. Au final, il vous a fallu 8 ans pour écrire ce roman, c’est long… (rires) Pas tant que cela si on considère que j'ai une vie à côté, un travail et des enfants à élever. Il a fallu trouver du temps pour écrire, organiser sa vie, chercher de la documentation et lire beaucoup… Sans compter le temps pour trouver un éditeur… Vous avez obtenu le Grand prix du roman décerné par le magazine « femme actuelle ». Vous y attendiez-vous ? Pas du tout et cela a été une immense surprise, surtout pour un livre qui parle de la Suisse ! Comme tous ceux qui cherchent un éditeur, j'ai envoyé mon manuscrit un peu partout et participé à de nombreux concours… Le jour où l’on m’a appelé pour me dire que mon manuscrit avait été retenu, je ne me rappelais même plus y avoir participé ! En tout cas, cela a signé le coup d’envoi du lancement de votre livre… Oui, car ce prix est un des rares dont le but est de lancer des livres de nouveaux auteurs. Avec à la clé une vraie promotion, ce qui est franchement génial ! Allez-vous continuer à écrire ? Bien sûr ! Je suis déjà sur mon prochain roman dans lequel je reprends les héroïnes des Secrets de nos cœurs silencieux car beaucoup de lecteurs avaient envie de savoir ce qu'elles allaient devenir et d'ailleurs moi aussi ! Écrire me régénère, même si ça implique d'organiser sa vie et que c'est très chronophage… Les secrets de nos cœurs silencieux, un roman palpitant et enlevé Élise se sent à l'étroit dans son petit village. Alors que son meilleur ami lui propose de partir avec lui, un événement brutal va les séparer. Vingt-six ans plus tard, Christa, superbe femme malentendante que la vie n'épargne pas, se bat pour s'intégrer dans notre société en manque de tolérance. Sa petite sœur Julie, adolescente tourmentée, découvre un secret de famille qui va briser ses repères. Elle va alors tirer sur le fil emmêlé de l'histoire de leur famille... Les secrets de nos cœurs silencieux, Isabelle Aeschlimann, Editions Nouveaux Auteurs, juin 2023. SUIVANT PRECEDENT

  • Fonds Jean-Bernard Lathion pour les jeunes en formation | FoRom Ecoute

    Découvrez le Fonds Jean-Bernard Lathion pour les jeunes en formation. Obtenez des informations sur les aides financières disponibles pour soutenir les jeunes malentendants en formation. Aide financière pour les jeunes malentendantes et malentendants en formation Les critères d’octroi sont les suivants : Résider et suivre une formation en Suisse romande Souffrir d’une perte auditive bilatérale d’au moins 30%, attestée par un audiogramme Être âgé de 16 à 30 ans Ne jamais avoir bénéficié auparavant d’une aide financière allouée par une personne physique ou morale de droit privé en raison de sa malentendance Pour déposer une demande, veuillez envoyer une demande écrite à FoRom écoute par email ou par courrier postal (les coordonnées figurent ci-dessous, en pied de page du site). Les demandes sont traitées dans l’ordre d’arrivée, tant et aussi longtemps que le fonds d’aide financière dispose de fonds suffisants. Un délai de 2 mois minimum est à prévoir jusqu’à ce que la décision soit rendue. La décision est prise au sein de FoRom écoute par le Conseil de fondation sur préavis du fondateur du fonds. Aucun recours n’est possible en cas de refus d’octroi de l’aide financière. Fonds Jean-Bernard Lathion pour les jeunes en formation

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