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- BoulevardSanté, des soins pour les sourds et malentendants | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- A Genève, un projet de loi prévoit des exceptions au port du masque anti-covid | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- Faut-il nettoyer soi-même ses appareils auditifs ? | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- Faire du sport aide à préserver l’audition | FoRom Ecoute
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- Bénévolat et adrénaline | FoRom Ecoute
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- Surdité unilatérale : et puis vint le BAHA… | FoRom Ecoute
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- Apple améliore encore la qualité sonore des appels téléphoniques depuis les iPhones | FoRom Ecoute
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- Handicap: l'office fédéral des transports met le paquet pour la LHand | FoRom Ecoute
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- Bientôt le sous-titrage en direct sur iPhone | FoRom Ecoute
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- Vaud - Projet Accès-Cible: la culture pour tous | FoRom Ecoute
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- Le port du masque ferait-il découvrir des troubles auditifs? | FoRom Ecoute
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- Cours LPC à Villars, retour à chaud ! | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- Roger Federer, signe de l'année 2017 | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- Congrès de forom écoute : La technologie conjuguée au futur | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- En voyage de noces… 20 ans après | FoRom Ecoute
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- Aux Hôpitaux universitaires de Genève, un dispositif spécifiquement dédié aux malentendants | FoRom Ecoute
Retour au Magazine Un espoir pour le traitement de la Maladie de Ménière 15 décembre 2024 Publié le : Un laboratoire américain annonce des résultats très prometteurs pour une molécule qui atténuerait deux symptômes majeurs de cette maladie marquée par d’invalidantes crises de vertiges : la perte auditive et les acouphènes. La perte auditive en est un des symptômes majeurs. Mais de loin pas le seul. La maladie de Ménière, qui touche deux personnes sur mille en Suisse, est une affection de l’oreille de cause inconnue à ce jour et qui se manifeste, outre la surdité, par des crises de vertiges rotatoires (l’impression que tout tourne) et des acouphènes, comme des bourdonnements des tintements et des sifflements. Légèrement plus fréquente chez les femmes, elle apparaît entre 20 et 50 ans, atteint en général une seule oreille et peut se révéler particulièrement invalidante. Et pour cause, les accès de vertiges sont souvent précédés de maux de tête intenses, et surviennent brutalement au point de gêner durablement la vie de ceux qui en souffrent. Peu de traitements Problème : la médecine offrait jusqu’à présent peu de possibilités de traiter la maladie de Ménière, si ce n’est par un traitement épisodique des symptômes : régime pauvre en sel, anti-vomitifs, diurétiques, vasodilatateurs, ou par une prise en charge chirurgicale qui, si elle permettait de mettre un terme aux vertiges, avait le lourd inconvénient de péjorer la perte auditive. Une lueur d’espoir cependant : le laboratoire américain Sound Pharmaceuticals , spécialisé dans l’élaboration de produits thérapeutiques des pertes auditives, a annoncé le passage aux essais cliniques de phase 3 (les derniers avant une éventuelle commercialisation) pour le SPI-1005, un traitement anti-inflammatoire oral contre la maladie de Ménière, après des tests menés entre 2022 et 2024 portant sur environ 200 patients et qui ont montré des améliorations significatives pour deux de ses symptômes majeurs : la perte auditive en particulier dans les basses fréquences, et les acouphènes. A confirmer « Nous remercions tous les patients qui ont participé à cet essai crucial », a déclaré le Dr Jonathan Kil, co-fondateur et PDG de la société Sound Pharmaceuticals. Le SPI-1005 est le seul médicament expérimental testé en phase 3 pour améliorer la perte auditive, les acouphènes et/ou les vertiges au cours des trois dernières années ». « Ces résultats doivent être confirmés par les essais cliniques en cours, tempère un ORL genevois. Mais s’ils sont à la hauteur des promesses, ils annoncent une vraie révolution dans la prise en charge et le traitement de la maladie de Ménière, pour laquelle nous étions jusqu’à présent plutôt démunis ». PRECEDENT SUIVANT
- Nuit des musées 2011 : « Lis sur mes lèvres !» | FoRom Ecoute
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- Traiter la malentendance peut éviter l’anxiété | FoRom Ecoute
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- Prix des appareils auditifs : la baisse se fait attendre | FoRom Ecoute
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- Grégoire Droz: « Quand je veux quelque chose, je travaille pour l’obtenir !» | FoRom Ecoute
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