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Une rencontre avec les présidents des amicales de malentendants de Suisse romande, malgré la pandémie

22 décembre 2020

Publié le :

Le 16 décembre dernier autour d’une table d’une brasserie lausannoise, forom écoute a été à la rencontre des représentants des amicales de malentendants de Suisse romande. Au menu : faire le point et essayer de penser 2021, en dépit des incertitudes liées à l’épidémie de coronavirus. Malgré les difficultés, malgré la pandémie, la tradition perdure, même au prix de quelques adaptations. La traditionnelle journée des présidents des amicales romandes a été remplacée cette année par une simple rencontre, qui a eu lieu le 16 décembre dernier à la Brasserie des Trois-Rois de Lausanne, autour, comme il se doit, de mets traditionnels du terroir. 4 amicales Quatre représentants d’amicales ont ainsi pu faire le déplacement : Jeanne-Marie Curchod pour l’Amicale des malentendants de la Côte, Christophe Lesimple pour celle de Fribourg, Jean-Bernard Lathion pour le Valais et Josina Kramer pour la Chaux-de-Fonds. Le président de l’amicale de Lausanne, Richard Vuille, a malheureusement dû renoncer à la dernière minute. Côté forom écoute, c’est une grande partie de l’équipe qui était présente, du nouveau président de la fondation Christian Rochat, à la jeune apprentie de commerce Thaïs Freymond, en passant par Lucie Froidevaux malentendante et chargée des conseils et de la sensibilisation ainsi que Chloé Péclard, la responsable du bureau, de l’administration et de la comptabilité, nouvellement arrivées. Planifier « Ce genre de rencontre permet de se connaître et de mettre des visages sur des noms, se réjouit cette dernière, dont c’est la première participation à ce type de manifestation. En plus, cela permet de remonter le moral des troupes en cette période si particulière ». Car la pandémie était bien sûr sur toutes les lèvres, tant elle rend incertaine l’organisation de l’année 2021. « L’idée était de planifier au mieux possible, avec les présidents qui le souhaitaient, les évènements de l’année à venir, explique Chloé Péclard. Certains ont voulu anticiper tandis que d’autres ont préféré ne rien prévoir, par crainte de devoir annuler par la suite. Mais ce qui est très positif, c’est que tous les participants étaient optimistes et rassurants sur le futur ».  
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